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gamer life

  • Mon Test de Sports Champions sur PS3 - suite

    Suite de ma chronique du jeu Sports Champions sur PS3  . 

    Parmi les attractions les plus inattendues, la pétanque tient une place de choix. Ce n’est pas vraiment le genre d’activité à laquelle on s’attendait dans une compilation sensée nous donner envie de bouger. Si certains seront ravis d’y voir une bonne excuse pour siroter une boisson anisée, d’autres se concentreront un peu plus sur le défi offert par le terrain qui ne se limite pas au classique bac à sable. En effet, nous avons affaire à une sorte de pétanque "sauvage" qui se joue sur des terrains en pente ou remplis d’objets pouvant gêner le jeu. Ainsi, il faudra souvent trouver un moyen de contourner une poubelle ou un banc pour approcher ses boules du cochonnet. Ce n’est pas l’activité la plus passionnante, ni la plus nerveuse, mais on y trouve du plaisir tout de même sur de courtes sessions, sachant que le Move suit bien nos gesticulations.

    Pour terminer le tour d’horizon des six épreuves disponibles, il est temps de passer à la plus originale et la plus ratée. Les combats de gladiateurs sont jouables à un ou deux Move, sachant que dans le second cas, l’un contrôlera l’arme et l’autre le bouclier. Pour faire simple, les coups sont imprécis, le rythme totalement mou et la jouabilité est à revoir. On arrive difficilement à évaluer la distance ou la puissance de frappe et parfois, il suffira juste de frapper dans les jambes pendant tout le combat pour l’emporter. Quelques coups spéciaux sont sensés venir rendre le tout plus dynamique, mais on s’ennuie ferme. Même les bonnes choses comme la garde et la parade pouvant entrainer la destruction du bouclier ne suffisent pas à sauver ces combats de la palme de l’épreuve la plus désastreuse.

    Ceci n’est pas un Mii

    La preuve la plus flagrante que Sony veut se démarquer de Nintendo et Microsoft provient des graphismes. Effectivement, si on a déjà vu que Sports Champions offrait un défi plus important que le party game de base, les graphismes sont plus réalistes que chez ses concurrents. Les personnages utilisés comme avatars sont à peine déformés, tout au plus, on aura un cow-boy avec des bras larges comme des cuisses. Les décors sont colorés et très agréables à l’œil dans la majorité des cas sans tomber dans le flashy ou le fluo. Graphiquement, le jeu est donc à l’image du reste du contenu, pas follement original, mais largement au niveau de ce qui se fait chez la concurrence tout en se tournant vers ceux qui veulent autre chose que des Miis ou Avatars évoluant dans des environnements aux couleurs parfois trop criardes.

    Sports Champions est donc une réussite indéniable pour accompagner la sortie du Move. Aussi fun qu’exigeant dans la majorité des activités proposées, il ne pêche au final que par son manque d’épreuves. Six sports, c’est bien trop peu pour un jeu vendu à part et si l’ensemble est bon, les combats de gladiateurs sont le gros point noir de cet épisode. Bien que le soft propose une vraie marge de progression par rapport à un Wii Sports Resort, il n’a pas encore son contenu pour rivaliser sur le long terme. Dans tous les cas, Sony réussit à prouver que son Move n’est pas qu’une simple copie de la Wiimote et qu’il apporte un vrai plus en termes de précision. Il reste à transformer l'essai avec de nouveaux jeux maintenant.

     

    Note finale de Sports Champions  = 7 / 10

     

    En plus de prouver que le Move est plus précis qu’une Wiimote, même équipée du Wii Motion Plus, Sports Champions se révèle être un très bon jeu de sport. Si on peut lui reprocher de n’avoir que six disciplines, comprenant tout de même des sous-activités, et surtout d’inclure des combats de gladiateurs ratés, pour le reste, nous avons affaire à du très bon. Tennis de table et beach-volley offrent ainsi d’excellentes sensations et un vrai défi pour les amateurs de challenge. Le disc-golf, la pétanque et le tir à l'arc n'apportent rien d'original mais permettent à l'ensemble de la famille de s'amuser sans avoir besoin de courir dans tous les sens. Le PlayStation Move répond très bien et les joueurs s’amusent tout en remuant devant leur console, pari réussi donc.

    On a aimé
    • La précision du Move

    • Le tennis de table et le Beach Volley

    • Accessible tout en offrant un véritable challenge

    On n'a pas aimé
    • Six sports seulement

    • Les épreuves de gladiateurs

    On s'en tape
    • Pas de concours en discothèque pour aller avec la boule

    • Pas de Mii ou d’avatar

  • Mon Test de Sports Champions sur PS3

    Ce Wii Sports façon PlayStation Move vous offre le choix entre six sports plus ou moins originaux : le ping-pong, le tir à l’arc, le beach-volley, le disc-golf, les combats de gladiateurs et la pétanque. Une liste qui a de quoi surprendre au premier abord quand on a l'habitude de jeux de foot de type FIFA   ou PES . Avant de nous aventurer dans les disciplines les plus exotiques, intéressons nous au classique ping-pong. En effet, le tennis de table est la seule discipline que l’on retrouve dans les jeux de sports de chaque constructeur. À ce niveau, Sports Champions gagne haut la main sur toute la concurrence. La distance entre le pongiste et la table doit être gérée et les effets ont une véritable importance, tout en étant bien plus complets que dans le titre de Nintendo, offrant ainsi un réalisme et un défi accrus.

    En sus d’une reconnaissance exemplaire, Sports Champions offre donc un défi aux joueurs qui veulent vraiment s’investir. Il ne s’agit pas simplement de mimer des mouvements de raquette, mais de jouer un véritable match dans son salon. Chaque épreuve en solo est découpée en trois coupes, bronze, argent et or. Autant vous dire que si vous n’êtes pas très à l’aise avec certains sports, il sera difficile d’aller jusqu’au bout de l’or. On l’aura compris, le PlayStation Move en a dans le manche et répond très bien, au moins sur le tennis de table qui est devenu un mètre-étalon pour les titres du genre, mais pour faire un bon soft, il en faut plus, qu’en est-il des autres épreuves ?

    Plage, frisbee, et flèches ?

    Pour continuer sur la liste des réussites du titre de Sony, il est obligatoire de faire un détour par le beach-volley. Particulièrement dynamique, ce sport de plage en deux contre deux vous demandera d’apprendre de nombreuses actions. Vous pouvez faire des manchettes et des passes pour les smashs en mimant ce que vous feriez dans la réalité avec une grande réussite. Le smash se fait en sautant légèrement et en inclinant le bras, sauf si vous optez pour le lob grâce à un petit coup de poignet astucieux. Si vous avez des voisins qui n’apprécient pas de vous entendre bondir en pleine nuit, sachez que plier les jambes, puis se redresser brusquement suffit à mimer le saut, même chose pour le contre au filet. Cette épreuve devient vraiment physique lorsqu’on arrive dans les dernières étapes de la coupe d’argent où il faut maîtriser les différentes actions du mieux possible et où les échanges sont très intenses. On rentre très vite dans la partie et l'action ne cesse jamais vraiment. Un jeu vraiment plaisant auquel on revient souvent pour le plaisir.

    Le disc-golf, sport consistant à jouer au golf à l’aide d’un frisbee, était déjà présent dans Wii Sports Resort et fait là aussi une apparition remarquée. Maniable, fun et facile à prendre en main, il devrait plaire à toute la famille. Il n’apporte cependant pas grand chose par rapport à la concurrence, le titre de Nintendo retranscrivant déjà très bien les sensations offertes par cette discipline. Il reste malgré tout une distraction agréable lorsqu'on a besoin de souffler entre deux matchs de volley.

    Pour compléter la liste des épreuves communes à Sports Champions et Wii Sports Resort, il nous reste à aborder le tir à l’arc. Tout d’abord, sachez que celui-ci se joue avec un ou deux Moves. Si vous n’avez qu’un accessoire, il vous permet de prendre une flèche dans votre carquois, puis de viser et tirer. Un deuxième Move offre la possibilité de simuler l’arc, ce que fait le Nunchuk chez Big N, et donc d’ajuster votre visée pendant que l’autre tient la corde. Si la facilité à faire mouche ne dépend pas vraiment du nombre de Move disponibles, l’immersion est bien meilleure lorsqu’on est l’heureux possesseur d’une paire de contrôleurs. À noter que le tir à l’arc est l’épreuve qui a le plus de variations puisqu’il est possible de tirer sur des cibles mouvantes, des fruits, de jouer au morpion ou de simplement s’amuser avec des cibles fixes de façon classique. Tout comme le disc-golf, il s'agit d'ultra classique mais la possibilité de jouer à deux en même temps apporte une bonne dose de fun.

  • test du jeu Alien vs Predator

    Alien vs Predator reprend un grand classique du cinéma afin de nous plonger dans une ambiance le l’hyper espace à la limite du survival horreur. Si les franchises ont marqué le grand écran, ce nouveau titre de Sega est il du même acabit ?

    Dans Alien vs Predator, on a le droit à trois gameplay pour le prix d’un. Je vous épargnerai les détails du scénario qui n’ont pas grande importance dans ce First Person Shooter et ce n’est d’ailleurs pas ce qu’on recherche dans ce type de jeu. Vous avez donc la possibilité d’incarner soit un horrible Alien, un méchant Predator ou un gentil humain en tant que Marines de l’Armée US. La jouabilité en fonction de chaque espèce est donc radicalement différente, et c’est ce qui fait tout l’intérêt du titre.

    L’Alien a la possibilité de se déplacer très rapidement et surtout de pouvoir grimper et tenir sur n’importe quelle paroi verticale ou horizontale inversée par rapport au plancher des vaches, ce qui n’est pas sans poser quelques problèmes de jouabilité afin de se repérer dans son environnement et savoir dans quelle position on se trouve. Fort heureusement, un réticule est affiché au centre de l’écran afin de vous rappeler où se trouve le sens de la gravité. Ses armes sont ses griffes et sa puissante queue alors qu’il peut percevoir ses ennemis à travers les parois. Son sifflement glace le sang de ses ennemis qu’il prend un plaisir à déchiqueter, voire plus si affinités. Il ne peut évidement se servir d’aucune arme tandis qu’il récupère automatiquement de la santé au bout d’un certain temps sans avoir encaissé de coups.

    Le Predator peut quant à lui se rendre complètement invisible afin d’échapper à la vigilance de ses ennemis, faire des sauts gigantesques, dispose d’une double vision infra rouge afin de percevoir soit les humains, soit les aliens et peut utiliser un redoutable canon à plasma. Il est donc largement équipé pour être un adversaire de taille lors des combats et mieux ne vaut trop lui chercher des poux dans les dreadlocks, quand bien même il n’aurait pas de cheveux.

    Enfin, le Marines dispose de l’équipement habituel des FPS bien bourrins, du fusil à pompe en passant par le lance-flammes. Son scanner en bas à droite de l’écran ne le quitte jamais et demeure indispensable grâce à ses bips bips et son écran qui localisent la vermine extra terrestre.

    Les forces et faiblesses des trois races sont relativement équilibrées même si tout à chacun préférera une espèce par rapport à une autre. Car le mode solo est bien découpé en 3 campagnes différentes où vous aurez la possibilité de prendre la peau de chaque classe. Le titre alterne entre de longs couloirs scriptés sans vraiment de marges de manœuvres et des environnements un peu plus ouvert comme la jungle par exemple. L’ambiance est prenante, forte, angoissante avec une atmosphère bien souvent dans la pénombre éclairée par la lampe torche du Marines. On frissonne à chaque bruit suspect de la bande son fort bien réalisée, que ce soit les bruitages ou la musique en se demandant ce qui va nous tomber dessus à chaque nouveau couloir, ce qui n’est pas sans rappeler un Doom ou un Quake de l’époque. Rien à redire coté graphique : c’est beau, propre et ragoutant à souhait même si certains trouveront peut être le jeu trop sombre par moment. C’est justement ce qui fait son charme grâce à son aspect suggestif.

    Le multi joueurs n’a pas été oublié avec 7 modes différents, du match à mort par équipe classique entre races aux mélanges d’espèces combinés. Parties privées, gestion des invitations, classements en lignes sont au rendez vous. Les cartes sont plutôt bien pensées et assez variées sans aucun lag ou perte de connexion à déplorer. Le seul bémol vient du nombre des joueurs relativement réduit avec des parties en ligne qui ne sont pas assez remplies.

    Sans révolutionner le genre, Alien vs Predator offre l’originalité de trois type de jouabilités complémentaires les unes par rapport aux autres. Il satisfera pleinement les amateurs de FPS sans convaincre ses réfractaires. Plaisant.

     

     

  • Mon avis sur le jeu : Star Wars The Old Republic – Edition collector

    star wars old republic.JPG

    J’ai reçu mon édition du collector de Star Wars The Old Republic version PC car ce MMORPG est seulement disponible sur ce support, ce qui est dommage. La sortie du jeu tombe bien car ses derniers mois je suis un peu en mode Star Wars, après avoir revisionné l’intégrale de la saga dont the revenge of Siths .

    Ce coffret se présente comme un gros cube qui présente de belle image sur ses côtés.

    Mais ce qui est original étant l’ouverture car elle se fait à la moitié du boitier qui permet d’enlever un chapeau. Le boitier est en carton plastifié solide, ce qui est très bien pour la conservation.

    A l’intérieur se trouve le jeu Star Wars The Old Republic dans un boitier steelbook que je trouve pas très réussi, j’aimerais bien me procurer celui offert par Game pour voir si c’est le même.

    Pour l’installation, il nécessitera 3 DVD et surtout prévoir un long moment car c’est très long même après lorsque l’on se connecte, une mise à jour se lance et elle est aussi très longue.

    Pour une fois, le Boitier métal n’est pas fait par steelbook qui est une marque déposé mais cette fois-ci par une autre entreprise.

    On retrouve aussi la bande-son du jeu qui comprend 17 titres pour un peu plus d’une heure de musique, après avoir écouté deux fois le CD, on retrouve pas les mêmes titres que ceux de la saga originale a part une chanson qui revient souvent dans les films que l’on peut croiser par exemple dans l’épisode IV quand on voit Luke et les deux étoiles sur Tatooine.
    Sur le CD, on peut retrouver la playlist du CD, ce qui dommage étant que le boitier est une simple pochette carton.

    Pour ceux qui aurait peur de ce perdre une carte de la galaxie en papier glacé est présent reprenant les planètes principales que l’on peut croiser aussi dans les films.

    GAMEPLAY : Star Wars The Old Republic 

    Une chose que j’aime bien dans ce collector étant un carnet qui fait office de journal d’une Maître Jedi en l’occurrence Gnost-Dural. Je le trouve très bien fait au niveau du contenu d’une part car cela explique beaucoup de chose dans l’univers de Star Wars illustré d’image et de texte.

    Mais une chose qui est assez sympa dans ce Journal étant que l’on retrouve aussi du contenu à part comme deux plans dont celui du Temple Jedi et aussi le traité de Coruscant. Tout celui sur du papier façon vieilli.

    Mais l’un des contenus le plus intéressant du collector étant la figurine de Dark Malgus faite par Gentle Giant. La figurine est en PVC je pense, elle est relativement bien réussi même si le plastique n’est pas toujours le meilleur pour une figurine. Sinon elle est rend très bien quand même.

    En plus du contenus liés au jeu est présent avec cette édition collector

    - Lance-fusées : tirez des projectiles incendiaires
    - Droïde de combat : évolue à vos cotés pour vous porter assistance
    - HoloDancer : projette votre image holographique
    - HoloCam : enregistrez vos aventures avec une caméra spéciale
    - STAP : véhicule exclusif au design unique
    - Droïde-souris exclusif : compagnon robotique à votre service
    et un accès à une Boutique Collector exclusive : accédez à une plateforme de vente dynamique dotée d’objets spéciaux

    Et j’ai failli oublier, une Clé d’authentification personnalisée pour se connecter au jeu ou sur le site.

    Finalement je trouve ce collector très réussi et franchement j’en suis fan de pouvoir avoir du contenu de l’univers de Star Wars en plus chez moi. Perso, je l’ai eu à un bon prix du à une réduction mais c’est sur qu’il faut être fan de la saga surtout qu’après il faut compter l’abonnement à 12,90€ par mois.

     

     

     

  • Kung Fu Live – Le test

    Kung Fu Live, un jeu totalement fou qui vous permet devant votre caméra Eye sur Playstation 3 de vous prendre pour Bruce Lee et de frapper tout ce qui bouge. Après quelques temps passé dessus je vous propose mon test, alors prêt à vous battre ?

    Un concept original

    kung fu livre.JPGA l’heure où Kinect fait des heureux sur Xbox 360, le studio Virtual Air Guitar Company nous prouve que sur Playstation 3 la manette ça peut aussi être nous. En effet puisque dans ce jeu vous allez devoir gesticuler devant votre écran contre des ennemis et ce sans manette, ça sera à vous de faire les mouvements pour qu’ils soient retranscris à l’écran. Et donc vous l’aurez compris comme il s’agit d’un jeu de Kung Fu vous allez devoir vous battre dans votre salon.Un peut comme sur le jeu NINJA GAIDEN II ou en mode Street Fighter IV et TEKKEN .

    Et comment cela fonctionne ? Et bien grâce à la caméra Playstation Eye scan votre image et efface le fond pour vous intégrer sur l’univers comics du jeu, il y a tout un tas de recommandations à suivre au départ pour le calibrage, comme par exemple le fait qu’il faut avoir des vêtements de couleurs qui contraste celle de votre entourage, éviter donc de vous habiller en noire si vous avez une tapisserie bleu foncé. Il y a plusieurs réglages possible, mais au final on se retrouve quand même avec une image de qualité moyenne, un halo autour de vous, un peu flou par endroit, mais on passe l’éponge car le plaisir de ce jeu est ailleurs !

    Une fois toutes les étapes de réglages effectué, comme le fait qu’il faut un espace de 2×3 mètres devant votre télé, et il faut vraiment car vous allez devoir bouger pendant la partie, vous allez pouvoir commencer à jouer et parlons donc tout de suite du point le plus important de ce jeu : la jouabilité. Et j’ai été agréablement surpris puisque le jeu se relève relativement précis, les mouvements qu’on fait sont bien retranscris à l’écran, vous pouvez donc faire les mouvements que vous le souhaitez avec votre corps ou du moins ce que votre corps vous permet, afin de combattre les ennemis à l’écran. En plus de ça quelques coups spéciaux sont là pour sortir, en faisant un mouvement particuliers, des attaques surpuissantes ! Que les choses soient clair ce jeu ne vas pas vous apprendre le Kung Fu, d’ailleurs si on vous regarde jouer on aura plutôt l’impression que vous essayer d’écraser des moustiques, mais le jeu est très jouissif et on prend un grand plaisir quand on arrive à réaliser une nouvelle figure. Juste un petit bémol niveau gameplay, le déplacement horizontal est plutôt laborieux, donc il vaut mieux attendre que les ennemis viennent sur nous.

    Un univers déjanté

    On évolue donc dans un univers aux allures de comics, les graphismes, qui collent à cet univers, sont plutôt simple mais agréable à regarder. Le jeu est coupé de cut-scènes ou c’est vous qui prenez la pose pour ensuite voir votre posture insérer dans les cases du comics, et certaines demandent une réel souplesse pour bien les réaliser. Le scénario quant à lui est plutôt basique, vous travaillez dans une boutique de Comics, et pendant que vous dormais vous apprenais le Kung Fu et il vous faudra sauver le monde d’une terrible menace démoniaque. En somme rien d’extraordinaire, c’est surtout l’univers déjanté qu’il faudra retenir, avec des environnements atypique et une bande son plutôt intéressantes, c’est le genre de jeu où il faut prendre les dialogues au second degrés.

    Pour ce qui est de la durée de vie il faut compter une dizaine de chapitres pour en venir à bout, assez rapide à finir, quoique personnellement je faisais régulièrement des pauses car le jeu fatigue assez rapidement. Rajouté à ça la possibilité de jouer avec vos amis, eux prennent la manette et joue les ennemis pendant que vous gesticuler dans le salon afin de les exploser.

    Pour restez dans l’univers déjanté, sachez qu’une page YouTube à été créée et si vous postez vos exploits vous pourrez gagner chaque semaine de nombreux lots, goodies, etc..

    Le jeu, exclusif à la ps3, propose donc une expérience original qui vous fera transpiré et puiser dans vos réserve pour sortir des high kick surpuissant. Bien que le jeu souffre de quelques problèmes, on passera un bon moment  dans cet univers déjanté et pour un jeu qui est vendu à moins de 15€ sur le Psn ça vaut clairement le détour.

     

     

  • Avis sur le jeu Sleeping Dogs

    sleeping dogs.JPG

    Loin d’être un simple copier/coller de ce qui se fait chez la concurrence, Sleeping Dogs parvient à concilier un mariage d’inspirations tout en apportant suffisamment d’idées pour dépoussiérer certaines mécaniques qui en avaient bien besoin. A commencer par le système de combat, très porté sur le Kung-Fu, relativement semblable à ce qu’on peut voir aujourd’hui sur des jeux comme Assassin's Creed ou la série des Batman par Rocksteady et qui se base donc sur les pares et les combos qui frappent, qui font mal. Wei peut également attraper ses opposants et interagir avec le décor pour leur asséner des dégâts importants et surtout plus spectaculaires, d’autant plus qu’au delà du gameplay même, les développeurs ont apporté un soin tout particulier concernant l’animation des personnages, ce qui donne des feintes/contres ou des scripts très convaincants. A noter d’ailleurs que l’IA joue plutôt bien le jeu lors des bastons avec une attitude agressive, n’hésitant à attaquer par plusieurs, offrant alors certains moments de bravoure pour peu qu’on parvienne à contrer au bon moment chaque assaut. Malheureusement, et en comparaison, les gunfights paraissent bien fades, les armes maquant clairement de punch et l’IA retombe dans des travers qu’on aimerait désormais oublier. A noter cependant la faculté de notre héros à ralentir le temps en passant par dessus des obstacles façon Stranglehold. Mais ce n’est pas tout, United Front Games a porté aussi une attention toute particulière aux phases en véhicules en offrant au joueur la possibilité d’interagir directement avec les autres véhicules, dans le pur esprit True Crime. Vous pouvez ainsi sauter sur les voitures autour de vous depuis la votre pour peu que vous ayez le timing adéquate. Vous pouvez également rester dans votre bolide et vous en servir pour « charger » vos opposants par la simple pression d’un bouton (en plus de la direction souhaitée). Ainsi, et pour notre plus grand plasir, Sleeping Dogs assume totalement sa conduite fun et arcade.

    Un gameplay frais avec des idées intéressantes

    Côté progression, le jeu fait davantage dans le classique. Vous devez accomplir une série de missions principale afin d’avancer dans l’histoire tout en ayant accès à des missions annexes pendant lesquelles vous pouvez épauler la police en faisant des missions de surveillance, de contrôle de foule, etc. Le titre adopte alors une dimension RPG, chaque mission vous octroyant des points d’expérience affiliés à la « branche » qui correspond (Flic, Voyou) que vous pouvez alors dépenser dans les différents arbres de compétences qui se réfèrent aux branches en question. On regrette cependant que toutes ces choses soient noyées au milieu d’une interface plutôt bordélique, avec une carte assez fouillis, envahie par une armée d’icônes, une situation difficile à appréhender sur les premières heures de jeu, d’autant plus que la taille de map ne rivalise pas avec les autres productions du genre, la Definitive Edition débarquant après le mastodonte GTA , le hit de Rockstar ayant clairement mis la barre un peu trop haute pour le titre d’United Front Games.

    Conclusion

    Inutile donc de préciser qu’à plein tarif il paraît difficile de conseiller ce Sleeping Dogs : Definitive, et encore moins pour ceux qui possèdent déjà la première version. Néanmoins, à prix réduit et pour ceux qui n’ont toujours pas rencontré Wei Shen, Sleeping Dogs reste une alternative crédible aux autres titres du genre, sans jamais rivaliser avec GTA  et cela même si le titre d’United Front Games s’efforce d’apporter certaines idées bienvenues. De quoi s’occuper efficacement pour une vingtaine d’heures jusqu’à la prochaine grosse sortie sur PC et consoles nouvelle génération.

     

     

  • Premiers pas dans le jeu Rage, : petite claque graphique 

    Jeu rage.JPGCela faisait longtemps que je ne m’étais pas pris ce que l’on peut appeler une « claque graphique ». Alors certes, Rage est loin d’être la plus spectaculaire que j’ai vécue, mais il faut dire que l’on arrive aussi à la fin de cette génération de machines, et il devient extrêmement difficile de surprendre sur ce point. En tout cas, dès les premières minutes, l’effet « waa » était là. Et même si je ne suis pas un expert les concernant, je me doutais bien que John Carmack et sa bande (id Software) allaient préparer quelque chose de lourd…

     

    Ce qui surprend avant tout, c’est le rendu d’ensemble, grâce au moteur fait maison, l’id Tech 5. Le rendu est propre, et joue surtout sur les courbes, ce qui a tendance à offrir une esthétique harmonieuse, très agréable à l’oeil. De ce fait, c’est un plaisir que le monde de Rage soit un monde ouvert, d’une part grâce à cette partie graphique très réussie, et d’autre part grâce au soin esthétique apporté à chaque environnement. Que ce soit au niveau des jeux d’éclairage, de couleurs, on sent réellement le travail, global et minutieux, effectué.

    En somme, voici donc ma première impression et ma première pensée, que j’avais envie de partager, sur Rage qui sort tout juste aujourd’hui sur PC, PS3 et Xbox 360. Cela ne veut absolument pas dire que le jeu est bon dans son ensemble (il est d’ailleurs sûrement répétitif dans ses missions, même s’il me semble aussi prenant grâce à son terrain de jeu soigné, à la fois libre et dirigiste), en revanche, une nouvelle fois, Carmack prouve son talent pour exploiter le potentiel de chaque support (apparemment les deux autres versions sont pareillement fignolées), tout en proposant un univers apocalyptique relativement impressionnant.

    MAJ :

    -à noter que le jeu met une bonne dizaine de minutes à être installé sur le disque dur de la PS3, ce qui n’est pas étonnant.

    -après avoir un joué un peu plus longuement, j’ai noté du clipping (souci d’affichage de textures), qui amenuit, lorsqu’il survient, légèrement le petit « choc » graphique. Mais Rage reste dans tous les cas, à mon sens, un jeu impressionnant techniquement, encore plus sur console de salon (les PCistes étant plus « habitués », si le matériel suit, à des FPS à la technique de haute volée).