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gamer life

  • Que dire du jeu Dragon Ball Z Hyper Dimension SNES ?

    Dragon Ball Z.JPGIl y a certains titres qui savent se faire désirer, et si en plus ils sont sortis chez nous en 1996, je pense qu'il est même possible de dire que l'attente fût très longue. Il y a certains titres qui ont eu comme seul défaut de sortir en fin de vie d'une console, au point que du haut de vos 14 ans vous vous demandiez vraiment qui irait mettre des euros dans une cartouche Super Nintendo alors que juste à coté les jeux Saturn proposaient quelque chose en vraie 3D, avec des graphismes de dingue, le tout en 32 bits ! La conclusion de tout ça ? On est vraiment con à 14 ans ! Quelques années plus tard vous vous retrouvez à faire la même recherche chaque jour sur Ebay and Co, afin de trouver ce jeu que vous aviez eu en main plus de 10 ans plus tôt, et que vous aviez remis en rayon avec un sourire moqueur. Le plus dur encore une fois ce n'est pas de le trouver, mais de le trouver à un bon prix, et c'est d'autant plus difficile avec ce titre car chaque vendeur SAIT qu'il est rare, surtout en bon état, surtout complet. Il n'est donc pas rare de trouver la cartouche seule à 30€, ou des produits annoncés comme complets, sans préciser que la boite a pris l'eau, que le nom de l'ancien propriétaire est inscrit au marqueur sur la cartouche, et que dans la notice ce même ancien propriétaire avait eu la bonne idée de dessiner des moustaches sur le visage de chaque pesonnage que l'on y trouve.

    Assez de teasing, et de toute façon si vous êtes passé par mon compte Facebook, vous savez déjà de quoi je parle.

    Avec ce titre c'est un pas de plus vers mon Full Set Dragon Ball sur Super Nintendo/Famicom. Un grand pas, car à coté de celui ci les autres sont presque trop simples à trouver.

     

    Quelques mots sur le titre Dragon Ball Z Hyper Dimension SNES  ?

    Oh surprise ! C'est un jeu de combat ! La grosse différence de ce titre DBZ par rapport aux autres de la série, c'était l'impossibilité de s'éloigner très fortement de l'adversaire, l'écran qui se sépare en 2 parties, un peu à l'image de ce que l'on trouve sur un FPS en jouant à 2 sur un même écran, c'est fini ! Le jeu se rapproche donc un peu plus d'un jeu de combat 2D classique, tout en y ajoutant la notion d'altitude, et quelques attaques qui profitent de la profondeur. Le tout a pour effet de créer un titre beaucoup plus technique que les Dragon Ball Butôden. L'effet pervers est que les combats sont moins spectaculaires. Les coups spéciaux sont moins mis en scène que dans les autres épisode, et les choix graphiques peuvent rendre le tout un peu brouillon.Une fois que vous avez compris qu'éviter un Kamehameha se fait juste avec un simple saut, vous avez plutôt tendance à privilégier les attaques au corps à corps. Autre petite déception, le nombre de personnages assez limité (autant que le L'ultime Menace, moins que La Legende Saien). Reste qu'en adepte de la série, pouvoir incarner des personnages qui vennaient à peines de se révéler durant notre dose de Dragon Ball Z du Mercredi matin, ça n'avait pas de prix... enfin si, un prix qui était même de 100frcs supérieur au jeu les plus chers de la console. De façon claire, le titre coutait le prix d'un jeu en version import.

    Petite précision concernant la version Japonaise du jeu. Si vous espériez trouver la version Super Famicom (bientôt en photo avec Homer je pense) pour y jouer sur Super Nintendo à l'aide de ce cher adaptateur AD29, c'est raté ! Le titre fait partie de ces jeux qui ne fonctionnent que sur la machine d'origine. Reste qu'a l'époque ça n'avait posé de soucis à personne, car chose rare, il était sorti en France avant de passer par la case Japon. Peu surprenant vu l'ampleur du phénomène Dragon Ball en France, cette sortie anticipée aura cependant eu l'inconvénient de nous priver du mode histoire, présent sur la version Japonaise. Au dela de la localisation, il existe donc 2 versions du même jeu, la version World, et la version Japonaise.

    Un titre, qui comme les autres de la série n'est pas un jeu de combat que l'on apprécie vraiment pour son coté technique, mais surtout pour le plaisir de plonger dans un univers qui nous faisait rêver... et finalement ça marche encore, même à presque 30 ans.

    Et parce que sur n'importe quel jeu de combat, le maitrise du combo est obligatoire, voici une petite vidéo bien instructive. Je suis assez surpris de voir que même sur cette license qui n'a jamais été source de tournoi de hauts niveaux, certains cherchent à optimiser au maximum les enchainements. Tout y passe, et ils maitrisent vraiment le juggle et les prises en corner... moi qui me contentais toujours de spammer les coups spéciaux en cherchant à être le plus loin possible de mon ennemi, je pense que si le titre avait été jouable en ligne, j'aurais pris de nombreuses leçons d'humilité. Si vous n'avez rien compris à cette dernière phrase, ne lancez pas la vidéo, ça risque fort de vous gonfler des la première minute.

  • Avis sur le jeu : Ridge Racers

    Ridge Racers.jpgQuand on pense nouvelle console SONY, on pense forcément Ridge Racer. Alors bien sur c’est avec plus ou moins d’enthousiasme, avec nostalgie lorsqu’il s’agit du premier opus sorti en 1995 avec la Playstation, ou avec une certaine amertume pour ce qui est du très moyen Ridge Racer V en 2000 sur cette chère PS2 qui s’est très bien rattrapée depuis en matière de course automobile.

    Rangez votre PS2 les gars, elle ne sert plus à rien !

    Si on m’avait dit ça il y a dix ans, je ne l’aurai sûrement pas cru ! Le fait d’avoir l’arcade à la maison grâce aux consoles 32 bits (et à la génération suivante) était déjà une révolution en soit, mais là on à l’arcade dans le train, dans l’avion, dans la voiture et même aux toilettes ! Une révolution incontestable dans le monde du divertissement mobile qui impressionne au premier coup d’oeil. En effet, dès le départ NAMCO donne le ton avec une cinématique qui fait vite prendre conscience de la qualité de l’écran de la PSP et des ses capacités techniques en matière d’images de synthèse. Les couleurs sont magnifiques, le visage de Reiko Nagase resplendit de milles feux, et les effets de lumière et de flou, accompagnés de ralentis et de mouvements de caméras judicieux donne lieu à un vrai régal pour les yeux. Décidément la PSP impressionne alors qu’elle n’en est qu’à ses balbutiements, j’en connais certains à Kyoto qui doivent commencer à se poser des questions quand à leur avenir sur le marché des consoles portables... Mais bon, là n’est pas la question et comme le dit cet adage bien connu : “les cinématiques ne rendent pas les coups”, alors penchons nous maintenant sur ce que la PSP peut vraiment faire en matière de 3D temps réel…

    Rien que pour vos yeux…

    Au niveau des graphismes tout d’abord, c’est la claque ultime. On se situe à peu près au niveau des premiers jeux PS2 et donc de Ridge Racer V, les effets de lumière sur le bitume sont magnifiques, les couchés de soleil en mettent plein les mirettes et l’effet de “blur” lorsque l’on utilise le boost s’avère très réussi. Mais ce n’est pas tout, car la modélisation des véhicules est excellente et on peut encore une fois féliciter les designers de NAMCO pour leurs exploits en matière de créativité (tous les véhicules étant designés par NAMCO). En ce qui concerne les différents circuits, ils vous feront visiter des endroits aussi différents que la montagne, la ville ou les bords de mer, avec une mentions toute particulière aux circuits en ville la nuit, avec tous les immeubles éclairés, les grandes roues et les feux d’artifices qui montrent à quel point la PSP en a dans le ventre. Ensuite, l’animation n’est pas en reste avec une vitesse et une fluidité impressionnantes qui ne sont entachées par aucun ralentissement, le tout avec une distance d’affichage à faire pâlir la PS2, un réel exploit sur une console portable.

    à suivre...

     

  • Avis sur le jeu Hydrophobia - fin

    Hydrophobia dégage une série d’incompréhensions quant aux choix des développeurs de chez Dark Energy. Pour faire simple, dans Hydrophobia, vous avez 5 phases bien distinctes : Primo, trouver la porte qui bloque le passage ; Secundo, trouver la clé d’activation grâce au MAVI, une interface mobile permettant de lire des inscriptions sur les murs invisibles à l’œil nu ; Tertio, dézinguer tout le beau monde qui se ramène pour vous empêcher de trouver le code ; Quarto, trouver et pirater le système et enfin Quinto, passer la porte qui était bloquée et… rebelote. Si cela semble bien sympathique, cette répétitivité aura du mal à passer auprès de la majorité des joueurs. Par ailleurs, bien que nous soyons dans un paquebot, le chemin est habilement tracé et linéaire avec des portes bloquées, des passages bouchés par un éboulement ou des flammes. De petits objectifs annexes, comme sauver une personne des griffes des Malthusiens, empêcher une explosion ou autre, sans forcément avoir d’incidence sur le scénario, n’auraient pas été de refus. Autre incompréhension, Kate ne peut se plaquer contre un mur ou une caisse afin de se protéger des tirs ennemis si elle n’a pas dégainé son arme auparavant, ce qui peut parfois entraîner des morts dont on se serait bien passé. En dehors de ça, de petites trouvailles comme le fait de contrôler des portes ou des caméras de surveillance à distance via le MAVI font plaisir à voir, mais cela reste trop peu en matière de diversité.


    Profitez-en, vous ne
    reverrez plus le ciel.

    Ce manque de diversité est également visible en ce qui concerne les décors. Certes nous sommes dans un paquebot, mais profitez bien du balcon de votre appartement car ce sera la seule phase en extérieur du jeu. La réalisation est plutôt correcte dans l’ensemble, même si c’est bien là qu’Hydrophobia subit les conséquences de cinq années de développement et d’une dématéralisation du jeu. Malgré tout, l’HydroEngine, fer de lance du jeu, est impressionnant autant visuellement que part son comportement et sa dynamique. Véritablement bousculée lorsqu’une vague arrive sur Kate, l’empêchant alors de viser convenablement, les tirs et explosions dans l’eau sont remarquablement biens réalisés. A l’opposé, la représentation des flammes laisse à désirer mais bon, nous dirons que nous ne jouons pas à Pyrophobia. Autre détail qui a le mérite d’être signalé, l’animation de Kate a été soigné. Notre héroïne met ses mains devant le visage dès que vous vous approchez trop près des flammes ou avant de se prendre un torrent d’eau en pleine poire. Pour terminer dans la réalisation, ne vous attendez pas à une superbe bande-son puisque l’unique musique est crispante à souhait et le doublage anglais zéro pointé, tout droit sorti d’une sitcom, que ce soit Kate ou son ami Scoot.

    Alors qu’il avait tout pour être une véritable bombe rafraîchissante, Hydrophobia n’est finalement qu’un bon petit divertissement de quelques heures, avec un joli cliffhanger, histoire de compléter le tableau de l’inachevé. Et ce n’est pas le misérable défi en bonus, se bouclant en 20 minutes top chrono, qui saura apaiser l’immense déception d’un jeu tant attendu à la rédaction depuis plusieurs années…

  • Avis sur Splinter Cell Conviction - fin

    Fin de la chronique du jeu Splinter Cell Conviction 

    Une fois n'est pas coutume, on se retrouve dans un univers où la lumière et l'éclairage sont d'une importance capitale pour votre survie. Les ombres en temps réel font merveille, mais on regrettera tout même le fait que l'écran passe au noir et blanc pour nous dire que nous sommes bien dissimuler à la vue des autres. Résultat, on ne peut pas vraiment jouir d'un jeu de couleur alléchant comme il nous est donné de le voir dans le niveau de la fête foraine. Une simple jauge de furtivité aurai très bien remplie le même rôle tout en nous laissant profiter des jolis graphismes aux textures fines dont fait preuve Splinter Cell Conviction.

    Splinter Cell Conviction.jpg

    Malheureusement, nous n'avons pas pu tester le mode multi à l'heure où ces lignes sont rédigées, mais on peut tout de même vous donner son contenue. Vous aurez donc droit à la coop pour faire la campagne en incarnant Archer d'échelon 3 ou Kestrel de Voron. Vient ensuite les modes chasseurs où il nous faut tuer tout les ennemis d'une zone le tout sur six maps, dernier survivant qui est une sorte de survie dans laquelle nous devrons défendre un générateur IEM face a des vagues d'assaillants sur 10 maps et pour finir, le face à face dans lequel il vous faudra affronter un adversaire tout en affrontant des vagues d'ennemis sur six maps également. Il vous faudra au préalable prendre soin de préparer votre équipement et choisir votre uniforme entre deux faction. Chaque armes, gadgets et uniformes sont upgradable grâce a des points que vous gagnerez en solo ou en multi, en remplissant des défis. Notez que les modes chasseurs et dernier survivant sont jouable en solo, ou en écran splitté. La bande son quand à elle est vraiment bonne tant au niveau de l'ambiance qu'au niveau de l'enregistrement des coups de feu ou encore des doublages en français intégral. On remarquera quand même qu'il n'est pas aisé de localiser un ennemi par ses bruits de pas résonnant un peu trop.

    Splinter Cell Conviction aura de quoi nous faire passer des bons moments devant notre écran, et nous demandera de recommencer le jeu plusieurs fois pour débloquer tous les défis. Les modes online ont de quoi ravir mais il sera temps d'en parler quand les parties seront disponibles. La durée de vie du solo reste convenable bien que un peu courte il faut l'avouer. Comptez huit heures pour en venir à bout en difficulté standard. Les graphismes sont malheureusement entachés par cet effet de noir et blanc ce qui ne nous permet d'en profiter à leur juste valeurs. Notez que la note est susceptible d'être modifiée en fonction du online.

  • Fable III

    Suite de ma chronique du jeu  FABLE III  : Une bonne plâtrée de monstre occis plus tard, il sera temps d'étoffer votre panel de compétences, et là : Révolution! Jadis les héros d’Albion parcouraient la campagne en quête d’expérience de mêlée, d’adresse ou de volonté. Maintenant qu’il y a moins de campagne, il y a… la Route du pouvoir ! C’est sur cette dernière que vous pourrez ouvrir les coffres vous servant de power-up. Force est d’ailleurs de constater que la progression dans fable 3 est plus dirigiste. En effet vous ne pourrez disposer de certaines compétences qu’après avoir dépassé certains "checkpoints" dans l’histoire principale. Cela dit, la montée en puissance est savamment dosée et on ne se retrouve jamais avec un héros gringalet incapable de remplir une mission.

    Mais pour ouvrir ces coffres, les quêtes seules ne suffiront pas. Comme dans une véritable révolution, il vous faudra le soutien du peuple. Puisque la notion de choix reste au centre du gameplay, il vous sera toujours possible d’interagir avec la plèbe de multiple façon. Pourtant il est devenu impossible de choisir l’expression que vous voulez utiliser. Vous aurez une expression positive, une négative et une ou deux autres plus contextuelles. Mais si vous voulez étreindre votre dulcinée et que le jeu affiche l’expression "danser", il ne sera pas possible d’"étreindre" ou d’"embrasser" et de même pour les expressions diaboliques. C’était louable de la part de Lionhead de vouloir simplifier l’interface, mais là, c’est trop simplifié. Un comble pour un jeu dont la thématique centrale est le choix !

    Heureusement pour vous (et votre peuple !), l'aide d'un autre héros seras une option réellement envisageable pour mener a bien vos périlleuses missions ! Beaucoup de joueurs s’étaient plaints du mode deux joueurs brouillon de Fable 2, doté d’une caméra fixe des plus contraignantes et d’un acolyte anonyme. Qu’à cela ne tienne ! Peter Molyneux en a tenu compte pour nous pondre un vrai mode deux joueurs. Exit l’acolyte anonyme, place a un vrai héros: le vôtre. Exit la caméra fixe, chacun sa camera et chacun est libre de ses mouvements, même si cela peut engendrer quelques bugs a la sortie d’une map. Il est même désormais possible de se marier, d’avoir des enfants et d’engager un partenariat commercial avec les autres héros. En un mot comme en cent: une bien belle révolution !

    Pari tenu ! La révolution est bien là. Les gars de Lionhead se sont bien creusés la tête pour rendre leur bébé bien plus mature et plus épique que ses prédécesseurs. Même si le jeu n’est pas exempt de défauts, il constitue un must-have pour toute vidéothèque Xbox qui se respecte. Chapeau bas Sire Molyneux !

  • Avis sur le jeu Hydrophobia

    Présenté pour la première fois en images en juin 2005, Hydrophobia a connu de nombreuses péripéties. Reporté à plusieurs reprises, tombé dans l’oubli sans avoir de nouvelle, rumeur d’une annulation, annonce d’une dématéralisation et enfin déclaration d’une exclusivité temporaire et plus définitive à la console de Microsoft. Au final, tous ces événements n’ont-ils pas eu raison de sa qualité ?

    (de pur produit IBM et microsoft)

    2051, la population mondiale, sans cesse en augmentation, a atteint un chiffre colossal. Les océans et les déserts consomment peu à peu la terre fertile et la famine et la pauvreté se fait de plus en plus ressentir. L’eau est alors devenue la ressource la plus précieuse au monde et des conflits éclatent partout où cette dernière peut être contrôlée. A l’instar de Leelh, au milieu de ce chaos sans précédent, une lutte politique et idéologique fait rage. D'un côté, les Malthusiens, qui cherchent à contrôler et à réduire la population mondiale, et de l'autre les Cornucopians, des apatrides voulant trouver une solution technologique pour palier à la famine mondiale. Apothéose de cette technologie, le Queen of the World est le plus grand navire jamais construit. Véritable cité en mer, où l'élite fortunée vit en exil, c’est à bord de cet immense paquebot que la NanoCell Corporation tente de développer des nano-technologies permettant de purifier l'eau de mer au niveau moléculaire afin de faire fleurir les déserts et de rendre ces terres arides en espaces fertiles. Alors que le projet semble toucher à sa fin, les Malthusiens attaquent la cité marine, bien déterminés à créer un génocide humain, guidés par une pseudo-prophétie…

    Avec un tel scénario, il y a de quoi se frotter les mains et empoigner vigoureusement son pad, bien décidé à dézinguer tout ce qui bouge. Cependant, ne vous emballez pas si vite. Bien qu’Hydrophobia puisse se classer parmi les survivals, Kate Wilson, protagoniste malgré elle, n’est pas un soldat d’élite, membre d’un groupe de police ou garde du corps mais une ingénieure. Autrement dit, trouver une arme sera la première chose à faire si vous espérez réduire au silence les Néo-Malthusiens équipés de chevrotine et de fusils d’assaut. Si l’eau et le feu resteront vos seuls ennemis avant de trouver enfin une arme de poing pouvant accueillir 5 types de cartouches, ce LP4 demeurera votre seule et unique arme.

    De ce fait, il faudra constamment switcher entre les différentes munitions afin de créer des réactions en chaines telles que des explosions, des électrocutions, etc… notamment en visant des tuyaux de gaz, des barils d’essence, des câbles électriques ou plus simplement l’eau. Toutefois, force est de constater que la panoplie des attaques est bien mince, accouplée à une maniabilité plutôt bancale.

     

     à suivre

  • Bioviva : des jeux de société éducatifs et écologiques !

    Pour sensibiliser les enfants à la protection de l’environnement dès leur jeune âge, les éditions Bioviva ont conçu divers jeux de sociétés éducatifs et écologiques, en partenariat avec des professionnels de l'écologie et des artisans rénovation .

    Les jeux de société proposés par les éditions Bioviva ne sont pas uniquement ludiques, mais également écologiques, et luqiques pour de futurs professionnels de la rénovation durable !. En effet, tous les composants de ces jeux sont en matériaux recyclés (plateau de jeux, cartes, ...). Chaque jeu est également recyclable. Les jeux des éditions Bioviva intègrent une démarche écocitoyenne et favorisent particulièrement la découverte des merveilles de la nature ou de la construction avec des matériaux bio-sourcés. L’idée est de susciter une certaine prise de conscience quant à l’importance de la nature et d’éveiller l’envie de la préserver.

     

    Les jeux Bioviva : des produits s’inscrivant dans une démarche écologique

    « Apprendre en s’amusant, dans le respect des autres », tel est le concept de ces jeux de société. Tous les objectifs des éditions Bioviva convergent vers le même fondement, à savoir le respect et l’épanouissement de l’individu : valoriser les notions de partage et d’échange, présenter le monde vivant avec un regard neuf, favoriser le respect de la vie, l'usage de matière recyclable, une vision de la construction et rénovation écologique ... Pour atteindre ces objectifs et surtout, enrichir les connaissances de tout un chacun, les informations contenues dans les jeux Bioviva sont présentées sous forme ludique.

    Jeux Bioviva : éducation et plaisir vont de pair

    Les jeux de société des éditions Bioviva ont tous été conçus par des passionnés de l’environnement et de rénovations. Chaque jeu a nécessité des mois de recherches scientifiques et pédagogiques. Le plaisir, l’autonomie ou encore la communication sont les bases fondamentales de ces loisirs. Bioviva met l’accent sur le côté divertissant pour concilier l’utile à l’agréable. En outre, ces jeux sont accessibles à partir de huit ans, de quoi amuser toute la famille. Par ailleurs, un contrôle rigoureux est effectué à chacune des étapes de leur conception : contrôle de l’origine des matières premières, fabrication dans le respect des Droits de l’Homme et de l’Enfant, etc.

    Aujourd’hui, les jeux Bioviva sont devenus la référence mondiale des jeux de société sur le thème de la nature. D’ailleurs, le jeu des éditions Bioviva, portant le même nom, a remporté 13 concours internationaux. Et il y en a pour tous les goûts ! Aventures, énigmes, défis, découvertes ... Chaque jeu réserve son lot de surprises pour amuser petits et grands. Bioviva propose entre autres d’explorer l’immensité de l’espace avec Mission Espace, de triompher des situations les plus extrêmes avec Opération Survie, de découvrir les parcs nationaux de France avec Nature Sauvage ...