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gamer life

  • test du jeu Alien vs Predator

    Alien vs Predator reprend un grand classique du cinéma afin de nous plonger dans une ambiance le l’hyper espace à la limite du survival horreur. Si les franchises ont marqué le grand écran, ce nouveau titre de Sega est il du même acabit ?

    Dans Alien vs Predator, on a le droit à trois gameplay pour le prix d’un. Je vous épargnerai les détails du scénario qui n’ont pas grande importance dans ce First Person Shooter et ce n’est d’ailleurs pas ce qu’on recherche dans ce type de jeu. Vous avez donc la possibilité d’incarner soit un horrible Alien, un méchant Predator ou un gentil humain en tant que Marines de l’Armée US. La jouabilité en fonction de chaque espèce est donc radicalement différente, et c’est ce qui fait tout l’intérêt du titre.

    L’Alien a la possibilité de se déplacer très rapidement et surtout de pouvoir grimper et tenir sur n’importe quelle paroi verticale ou horizontale inversée par rapport au plancher des vaches, ce qui n’est pas sans poser quelques problèmes de jouabilité afin de se repérer dans son environnement et savoir dans quelle position on se trouve. Fort heureusement, un réticule est affiché au centre de l’écran afin de vous rappeler où se trouve le sens de la gravité. Ses armes sont ses griffes et sa puissante queue alors qu’il peut percevoir ses ennemis à travers les parois. Son sifflement glace le sang de ses ennemis qu’il prend un plaisir à déchiqueter, voire plus si affinités. Il ne peut évidement se servir d’aucune arme tandis qu’il récupère automatiquement de la santé au bout d’un certain temps sans avoir encaissé de coups.

    Le Predator peut quant à lui se rendre complètement invisible afin d’échapper à la vigilance de ses ennemis, faire des sauts gigantesques, dispose d’une double vision infra rouge afin de percevoir soit les humains, soit les aliens et peut utiliser un redoutable canon à plasma. Il est donc largement équipé pour être un adversaire de taille lors des combats et mieux ne vaut trop lui chercher des poux dans les dreadlocks, quand bien même il n’aurait pas de cheveux.

    Enfin, le Marines dispose de l’équipement habituel des FPS bien bourrins, du fusil à pompe en passant par le lance-flammes. Son scanner en bas à droite de l’écran ne le quitte jamais et demeure indispensable grâce à ses bips bips et son écran qui localisent la vermine extra terrestre.

    Les forces et faiblesses des trois races sont relativement équilibrées même si tout à chacun préférera une espèce par rapport à une autre. Car le mode solo est bien découpé en 3 campagnes différentes où vous aurez la possibilité de prendre la peau de chaque classe. Le titre alterne entre de longs couloirs scriptés sans vraiment de marges de manœuvres et des environnements un peu plus ouvert comme la jungle par exemple. L’ambiance est prenante, forte, angoissante avec une atmosphère bien souvent dans la pénombre éclairée par la lampe torche du Marines. On frissonne à chaque bruit suspect de la bande son fort bien réalisée, que ce soit les bruitages ou la musique en se demandant ce qui va nous tomber dessus à chaque nouveau couloir, ce qui n’est pas sans rappeler un Doom ou un Quake de l’époque. Rien à redire coté graphique : c’est beau, propre et ragoutant à souhait même si certains trouveront peut être le jeu trop sombre par moment. C’est justement ce qui fait son charme grâce à son aspect suggestif.

    Le multi joueurs n’a pas été oublié avec 7 modes différents, du match à mort par équipe classique entre races aux mélanges d’espèces combinés. Parties privées, gestion des invitations, classements en lignes sont au rendez vous. Les cartes sont plutôt bien pensées et assez variées sans aucun lag ou perte de connexion à déplorer. Le seul bémol vient du nombre des joueurs relativement réduit avec des parties en ligne qui ne sont pas assez remplies.

    Sans révolutionner le genre, Alien vs Predator offre l’originalité de trois type de jouabilités complémentaires les unes par rapport aux autres. Il satisfera pleinement les amateurs de FPS sans convaincre ses réfractaires. Plaisant.

     

     

  • Mon avis sur le jeu : Star Wars The Old Republic – Edition collector

    star wars old republic.JPG

    J’ai reçu mon édition du collector de Star Wars The Old Republic version PC car ce MMORPG est seulement disponible sur ce support, ce qui est dommage. La sortie du jeu tombe bien car ses derniers mois je suis un peu en mode Star Wars, après avoir revisionné l’intégrale de la saga dont the revenge of Siths .

    Ce coffret se présente comme un gros cube qui présente de belle image sur ses côtés.

    Mais ce qui est original étant l’ouverture car elle se fait à la moitié du boitier qui permet d’enlever un chapeau. Le boitier est en carton plastifié solide, ce qui est très bien pour la conservation.

    A l’intérieur se trouve le jeu Star Wars The Old Republic dans un boitier steelbook que je trouve pas très réussi, j’aimerais bien me procurer celui offert par Game pour voir si c’est le même.

    Pour l’installation, il nécessitera 3 DVD et surtout prévoir un long moment car c’est très long même après lorsque l’on se connecte, une mise à jour se lance et elle est aussi très longue.

    Pour une fois, le Boitier métal n’est pas fait par steelbook qui est une marque déposé mais cette fois-ci par une autre entreprise.

    On retrouve aussi la bande-son du jeu qui comprend 17 titres pour un peu plus d’une heure de musique, après avoir écouté deux fois le CD, on retrouve pas les mêmes titres que ceux de la saga originale a part une chanson qui revient souvent dans les films que l’on peut croiser par exemple dans l’épisode IV quand on voit Luke et les deux étoiles sur Tatooine.
    Sur le CD, on peut retrouver la playlist du CD, ce qui dommage étant que le boitier est une simple pochette carton.

    Pour ceux qui aurait peur de ce perdre une carte de la galaxie en papier glacé est présent reprenant les planètes principales que l’on peut croiser aussi dans les films.

    GAMEPLAY : Star Wars The Old Republic 

    Une chose que j’aime bien dans ce collector étant un carnet qui fait office de journal d’une Maître Jedi en l’occurrence Gnost-Dural. Je le trouve très bien fait au niveau du contenu d’une part car cela explique beaucoup de chose dans l’univers de Star Wars illustré d’image et de texte.

    Mais une chose qui est assez sympa dans ce Journal étant que l’on retrouve aussi du contenu à part comme deux plans dont celui du Temple Jedi et aussi le traité de Coruscant. Tout celui sur du papier façon vieilli.

    Mais l’un des contenus le plus intéressant du collector étant la figurine de Dark Malgus faite par Gentle Giant. La figurine est en PVC je pense, elle est relativement bien réussi même si le plastique n’est pas toujours le meilleur pour une figurine. Sinon elle est rend très bien quand même.

    En plus du contenus liés au jeu est présent avec cette édition collector

    - Lance-fusées : tirez des projectiles incendiaires
    - Droïde de combat : évolue à vos cotés pour vous porter assistance
    - HoloDancer : projette votre image holographique
    - HoloCam : enregistrez vos aventures avec une caméra spéciale
    - STAP : véhicule exclusif au design unique
    - Droïde-souris exclusif : compagnon robotique à votre service
    et un accès à une Boutique Collector exclusive : accédez à une plateforme de vente dynamique dotée d’objets spéciaux

    Et j’ai failli oublier, une Clé d’authentification personnalisée pour se connecter au jeu ou sur le site.

    Finalement je trouve ce collector très réussi et franchement j’en suis fan de pouvoir avoir du contenu de l’univers de Star Wars en plus chez moi. Perso, je l’ai eu à un bon prix du à une réduction mais c’est sur qu’il faut être fan de la saga surtout qu’après il faut compter l’abonnement à 12,90€ par mois.

     

     

     

  • Kung Fu Live – Le test

    Kung Fu Live, un jeu totalement fou qui vous permet devant votre caméra Eye sur Playstation 3 de vous prendre pour Bruce Lee et de frapper tout ce qui bouge. Après quelques temps passé dessus je vous propose mon test, alors prêt à vous battre ?

    Un concept original

    kung fu livre.JPGA l’heure où Kinect fait des heureux sur Xbox 360, le studio Virtual Air Guitar Company nous prouve que sur Playstation 3 la manette ça peut aussi être nous. En effet puisque dans ce jeu vous allez devoir gesticuler devant votre écran contre des ennemis et ce sans manette, ça sera à vous de faire les mouvements pour qu’ils soient retranscris à l’écran. Et donc vous l’aurez compris comme il s’agit d’un jeu de Kung Fu vous allez devoir vous battre dans votre salon.Un peut comme sur le jeu NINJA GAIDEN II ou en mode Street Fighter IV et TEKKEN .

    Et comment cela fonctionne ? Et bien grâce à la caméra Playstation Eye scan votre image et efface le fond pour vous intégrer sur l’univers comics du jeu, il y a tout un tas de recommandations à suivre au départ pour le calibrage, comme par exemple le fait qu’il faut avoir des vêtements de couleurs qui contraste celle de votre entourage, éviter donc de vous habiller en noire si vous avez une tapisserie bleu foncé. Il y a plusieurs réglages possible, mais au final on se retrouve quand même avec une image de qualité moyenne, un halo autour de vous, un peu flou par endroit, mais on passe l’éponge car le plaisir de ce jeu est ailleurs !

    Une fois toutes les étapes de réglages effectué, comme le fait qu’il faut un espace de 2×3 mètres devant votre télé, et il faut vraiment car vous allez devoir bouger pendant la partie, vous allez pouvoir commencer à jouer et parlons donc tout de suite du point le plus important de ce jeu : la jouabilité. Et j’ai été agréablement surpris puisque le jeu se relève relativement précis, les mouvements qu’on fait sont bien retranscris à l’écran, vous pouvez donc faire les mouvements que vous le souhaitez avec votre corps ou du moins ce que votre corps vous permet, afin de combattre les ennemis à l’écran. En plus de ça quelques coups spéciaux sont là pour sortir, en faisant un mouvement particuliers, des attaques surpuissantes ! Que les choses soient clair ce jeu ne vas pas vous apprendre le Kung Fu, d’ailleurs si on vous regarde jouer on aura plutôt l’impression que vous essayer d’écraser des moustiques, mais le jeu est très jouissif et on prend un grand plaisir quand on arrive à réaliser une nouvelle figure. Juste un petit bémol niveau gameplay, le déplacement horizontal est plutôt laborieux, donc il vaut mieux attendre que les ennemis viennent sur nous.

    Un univers déjanté

    On évolue donc dans un univers aux allures de comics, les graphismes, qui collent à cet univers, sont plutôt simple mais agréable à regarder. Le jeu est coupé de cut-scènes ou c’est vous qui prenez la pose pour ensuite voir votre posture insérer dans les cases du comics, et certaines demandent une réel souplesse pour bien les réaliser. Le scénario quant à lui est plutôt basique, vous travaillez dans une boutique de Comics, et pendant que vous dormais vous apprenais le Kung Fu et il vous faudra sauver le monde d’une terrible menace démoniaque. En somme rien d’extraordinaire, c’est surtout l’univers déjanté qu’il faudra retenir, avec des environnements atypique et une bande son plutôt intéressantes, c’est le genre de jeu où il faut prendre les dialogues au second degrés.

    Pour ce qui est de la durée de vie il faut compter une dizaine de chapitres pour en venir à bout, assez rapide à finir, quoique personnellement je faisais régulièrement des pauses car le jeu fatigue assez rapidement. Rajouté à ça la possibilité de jouer avec vos amis, eux prennent la manette et joue les ennemis pendant que vous gesticuler dans le salon afin de les exploser.

    Pour restez dans l’univers déjanté, sachez qu’une page YouTube à été créée et si vous postez vos exploits vous pourrez gagner chaque semaine de nombreux lots, goodies, etc..

    Le jeu, exclusif à la ps3, propose donc une expérience original qui vous fera transpiré et puiser dans vos réserve pour sortir des high kick surpuissant. Bien que le jeu souffre de quelques problèmes, on passera un bon moment  dans cet univers déjanté et pour un jeu qui est vendu à moins de 15€ sur le Psn ça vaut clairement le détour.

     

     

  • Avis sur le jeu Sleeping Dogs

    sleeping dogs.JPG

    Loin d’être un simple copier/coller de ce qui se fait chez la concurrence, Sleeping Dogs parvient à concilier un mariage d’inspirations tout en apportant suffisamment d’idées pour dépoussiérer certaines mécaniques qui en avaient bien besoin. A commencer par le système de combat, très porté sur le Kung-Fu, relativement semblable à ce qu’on peut voir aujourd’hui sur des jeux comme Assassin's Creed ou la série des Batman par Rocksteady et qui se base donc sur les pares et les combos qui frappent, qui font mal. Wei peut également attraper ses opposants et interagir avec le décor pour leur asséner des dégâts importants et surtout plus spectaculaires, d’autant plus qu’au delà du gameplay même, les développeurs ont apporté un soin tout particulier concernant l’animation des personnages, ce qui donne des feintes/contres ou des scripts très convaincants. A noter d’ailleurs que l’IA joue plutôt bien le jeu lors des bastons avec une attitude agressive, n’hésitant à attaquer par plusieurs, offrant alors certains moments de bravoure pour peu qu’on parvienne à contrer au bon moment chaque assaut. Malheureusement, et en comparaison, les gunfights paraissent bien fades, les armes maquant clairement de punch et l’IA retombe dans des travers qu’on aimerait désormais oublier. A noter cependant la faculté de notre héros à ralentir le temps en passant par dessus des obstacles façon Stranglehold. Mais ce n’est pas tout, United Front Games a porté aussi une attention toute particulière aux phases en véhicules en offrant au joueur la possibilité d’interagir directement avec les autres véhicules, dans le pur esprit True Crime. Vous pouvez ainsi sauter sur les voitures autour de vous depuis la votre pour peu que vous ayez le timing adéquate. Vous pouvez également rester dans votre bolide et vous en servir pour « charger » vos opposants par la simple pression d’un bouton (en plus de la direction souhaitée). Ainsi, et pour notre plus grand plasir, Sleeping Dogs assume totalement sa conduite fun et arcade.

    Un gameplay frais avec des idées intéressantes

    Côté progression, le jeu fait davantage dans le classique. Vous devez accomplir une série de missions principale afin d’avancer dans l’histoire tout en ayant accès à des missions annexes pendant lesquelles vous pouvez épauler la police en faisant des missions de surveillance, de contrôle de foule, etc. Le titre adopte alors une dimension RPG, chaque mission vous octroyant des points d’expérience affiliés à la « branche » qui correspond (Flic, Voyou) que vous pouvez alors dépenser dans les différents arbres de compétences qui se réfèrent aux branches en question. On regrette cependant que toutes ces choses soient noyées au milieu d’une interface plutôt bordélique, avec une carte assez fouillis, envahie par une armée d’icônes, une situation difficile à appréhender sur les premières heures de jeu, d’autant plus que la taille de map ne rivalise pas avec les autres productions du genre, la Definitive Edition débarquant après le mastodonte GTA , le hit de Rockstar ayant clairement mis la barre un peu trop haute pour le titre d’United Front Games.

    Conclusion

    Inutile donc de préciser qu’à plein tarif il paraît difficile de conseiller ce Sleeping Dogs : Definitive, et encore moins pour ceux qui possèdent déjà la première version. Néanmoins, à prix réduit et pour ceux qui n’ont toujours pas rencontré Wei Shen, Sleeping Dogs reste une alternative crédible aux autres titres du genre, sans jamais rivaliser avec GTA  et cela même si le titre d’United Front Games s’efforce d’apporter certaines idées bienvenues. De quoi s’occuper efficacement pour une vingtaine d’heures jusqu’à la prochaine grosse sortie sur PC et consoles nouvelle génération.

     

     

  • Premiers pas dans le jeu Rage, : petite claque graphique 

    Jeu rage.JPGCela faisait longtemps que je ne m’étais pas pris ce que l’on peut appeler une « claque graphique ». Alors certes, Rage est loin d’être la plus spectaculaire que j’ai vécue, mais il faut dire que l’on arrive aussi à la fin de cette génération de machines, et il devient extrêmement difficile de surprendre sur ce point. En tout cas, dès les premières minutes, l’effet « waa » était là. Et même si je ne suis pas un expert les concernant, je me doutais bien que John Carmack et sa bande (id Software) allaient préparer quelque chose de lourd…

     

    Ce qui surprend avant tout, c’est le rendu d’ensemble, grâce au moteur fait maison, l’id Tech 5. Le rendu est propre, et joue surtout sur les courbes, ce qui a tendance à offrir une esthétique harmonieuse, très agréable à l’oeil. De ce fait, c’est un plaisir que le monde de Rage soit un monde ouvert, d’une part grâce à cette partie graphique très réussie, et d’autre part grâce au soin esthétique apporté à chaque environnement. Que ce soit au niveau des jeux d’éclairage, de couleurs, on sent réellement le travail, global et minutieux, effectué.

    En somme, voici donc ma première impression et ma première pensée, que j’avais envie de partager, sur Rage qui sort tout juste aujourd’hui sur PC, PS3 et Xbox 360. Cela ne veut absolument pas dire que le jeu est bon dans son ensemble (il est d’ailleurs sûrement répétitif dans ses missions, même s’il me semble aussi prenant grâce à son terrain de jeu soigné, à la fois libre et dirigiste), en revanche, une nouvelle fois, Carmack prouve son talent pour exploiter le potentiel de chaque support (apparemment les deux autres versions sont pareillement fignolées), tout en proposant un univers apocalyptique relativement impressionnant.

    MAJ :

    -à noter que le jeu met une bonne dizaine de minutes à être installé sur le disque dur de la PS3, ce qui n’est pas étonnant.

    -après avoir un joué un peu plus longuement, j’ai noté du clipping (souci d’affichage de textures), qui amenuit, lorsqu’il survient, légèrement le petit « choc » graphique. Mais Rage reste dans tous les cas, à mon sens, un jeu impressionnant techniquement, encore plus sur console de salon (les PCistes étant plus « habitués », si le matériel suit, à des FPS à la technique de haute volée).

  • Avis sur le jeu : Ridge Racers - FIN

    Suite de notre critique du jeu Ridge Racers

    Sjeu-ridge-racers.jpgONY ne déroge pas à la règle en nous offrant en même temps que son “bijoux technologique du 21ème siècle” un nouvel opus de la saga fétiche de NAMCO, tout simplement intitulé Ridge Racers, regroupant le meilleur des 5 opus sortis jusqu’à maintenant.

    Enfin, au registre du son, on notera des bruitages de voiture plutôt convaincants (bien que très fantaisistes), des crissements de pneus très réussis mais surtout une ambiance sonore excellente portée par une bande son électronique toujours aussi réussie (la marque de fabrique des Ridge Racer) et des voix off pendant les courses qui contribuent à la touche très arcade de la série. Bref, du tout bon en matière de réalisation, surtout pour la première génération de jeux d’une console, qui laisse augurer du meilleur pour le futur de la console.

     

    Ridge Racers : la révolution du multijoueur

    Une fois le jeu lancé vous avez le choix entre World Tour, qui comme sont nom ne l’indique pas est une succession de championnats allant de 2 à 6 courses répartis en trois catégories, Basic, Pro et enfin Expert ; le Single Race qui propose donc des courses simples (décidément je suis trop fort en anglais), le Time Attack que tout le monde connaît et enfin le Wireless Battle ou “bataille sans fils” qui n’est pas un combat de téléphones portables mais bel et bien le mode multijoueur sans fils via Wifi sur lequel nous reviendrons un peu plus tard. Le mode World Tour qui est le noyau dur du jeu, vous permettra de débloquer tous les véhicules et tous les circuits du jeu au fil des championnats dont la difficulté va croissante. C’est donc par celui-ci qu’il vous faudra commencer pour espérer vous familiariser avec le jeu qui, si il reste toujours aussi arcade, comporte une nouvelle dimension qui apporte une certaine dose de stratégie.

    En effet, la jouabilité est toujours aussi simple, on n’utilise que l’accélérateur que l’on relâche à l’entrée des virages pour partir en dérapage, et on maîtrise donc très vite toutes les subtilités du dépassement. Chaque course se déroule de la même manière, vous démarrez 12ème et vous devez finir 4ème, 3ème, 2ème ou 1er suivant l’avancement du championnat, la chose la plus importante à garder en tête étant de ne pas rentrer dans les autres voitures car cela pénalise énormément. Mais la grosse nouveauté de cet opus, qui apporte un peu de stratégie dans cet débauche d’arcade, est l’apparition d’une jauge de boost composée de trois compartiments qui se remplissent au fur et à mesure des dérapages et qu’il faudra savoir utiliser à bon escient aux moments clés de chaque course.

    Une nouveauté bienvenue qui rafraîchit la série en lui donnant un nouvel intérêt. La cerise sur le gâteau étant le mode multijoueur en Wifi (jusqu’à 8), qui vous permettra d’affronter quiconque possède une PSP avec le jeu dans un rayon d’environ 80 mètres, et le tout sans ralentissements s’il vous plaît ! La révolution du jeu vidéo portable est en marche…

    NAMCO nous gratifie donc avec ce premier jeu de course sur PSP d'une vraie perle qui réunit le meilleur de la saga Ridge Racer, autour d’une réalisation somptueuse appuyée par une animation sans failles et une ambiance sonore excellente. On ne peut qu'être impressionné par une telle qualité alors que la console est encore toute jeune et mal connue des programmeurs. De plus, le mode multijoueurs en Wifi apporte une nouvelle dimension au jeu sur console portable en libérant les joueurs de la contrainte des distances et de l'encombrement des fils. Enfin, sachez qu'il est possible de s’adonner à se bon vieux Rally-X (qui a fait les beaux jours de NAMCO dans le temps) et de débloquer une voiture caché très sympatoche. Bref, si vous comptez acquérir une PSP dans les mois qui viennent, ce Ridge Racer se doit de faire partie de votre ludothèque.

  • Dark Souls et le « GAME OVER », main dans la main

    Dark Souls.JPG

    J’ai joué à Dark Souls, et j’ai connu le phénomène « GAME OVER » à répétition. Et pourtant à dire vrai, je ne suis pas allé bien loin mais le titre est vraiment d’une trop grande difficulté. Son charme est malgré tout réel, avec son ambiance très oppressante, son interface dépouillée, sa quasi-absence de narration. D’un point de vue immersif, Dark Souls est un vrai jeu vidéo, qui s’inspire uniquement des codes de son média.

    Et puis graphiquement, sans être renversant, il tient tout à fait la route (je l’ai essayé sur cette version Xbox 360), aidé encore une fois par le travail esthétique, sombre, cohérent. Bref, en somme un jeu de qualité, doté d’un fort pouvoir d’attraction si l’on ne bute pas sur ses mécaniques de gameplay « old school », poussées à l’extrême…

    Développé par From Software Inc. et édité par Namco Bandai Games, Dark Souls sera disponible sur PS3 et Xbox 360 .

    A noter qu’un concours est organisé sur le blog pour tenter de gagner un exemplaire de Dark Souls, version Xbox 360 (concours jusqu’au 14 octobre).